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~ B I E N V E N U E ~ A ~ A L G E R ~
ancienne capitale de la France libre.

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Aurélie
En Algérie le Hoggar et les Tassilis du Hoggar

Alger, Cherchell, Tipaza.

La crise économique s'aggrave en Algérie. En 2015, le déficit a atteint 22 % du PIB. L'Algérie retire des hydrocarbures 98% de ses exportations, près de la moitié de son PIB et 60% de l'ensemble des recettes fiscales de l'État. Le pays importe la quasi-totalité de ce qu'il consomme. Les impôts ont été augmentés, pendant que les subventions baissaient. le gouvernement a annoncé sa volonté de supprimer un million de postes de fonctionnaires, ce qui représente. 40% de l'ensemble des 2,5 millions de fonctionnaires algériens. Même si la fonction publique est importante en Algérie, elle n'est pas plus pléthorique que dans certaines grandes économies développées. Selon les chiffres de la Banque mondiale, la population active algérienne s'élève à environ 12,3 millions de personnes sur une population totale de 40 millions. La fonction publique ne représente donc 20% de la population active, en France, c'est 22%. L'essence qui était vendue à un prix dérisoire est en augmentation constante ce qui n'empèche pas les embouteillages monstres dans les ville. Le chômage augmente, officiellement il est de 12 %, beaucoup plus en réalité.
Pour l'instant la population reste calme, consciente que la crise internationale ne permet guère des résultats plus brillants et surtout par le fait que les révolutions arabes ont eu des résultats tellement dramatiques que les gens ne souhaitent pas revivre la décennie sanglante. On voit même des opposants parmi les plus déterminés à Bouteflika, se dire que ç'est peut-être un moindre mal.
Pour l'heure, on évoque surtout les dizaines de milliers de réfugiés dans le pays (notamment syrien) assez peu protégés voire exploités et la lutte pour le pouvoir entre les 2 partis de la majorité. La presse fait son travail et ne ménage pas le Président, tout en se faisant plus discrète par moment.
Enfin, la lune de miel franco-algérienne est reconnue dans tous les médias. Est-ce pour cela que la procédure pour obtenir un visa c'est un peu assouplie.
On apprend aussi que des prélèvements ADN seront faits sur les pèlerins en départ pour le pèlerinage. La crainte du terrorisme atteint tous les pays. tandis que s'édifie dans la capitale le plus haut minaret du monde, le pays s'enfonce dans le marasme politique et social.
C'est un projet pharaonique. Sur le front de mer de la baie d'Alger, en bordure de la rocade autoroutière reliant l'aéroport au centre de la capitale algérienne, se construit Djamaa el-Djazaïr, le rêve du président Bouteflika. Un rêve conçu par des architectes allemands et réalisé par plus d'un millier d'ouvriers chinois. Un rêve de démesure, bâti sur un espace presque équivalent à la superficie du Vatican. Un rêve estimé à environ 4 milliards d'euros. La future grande mosquée d'Alger devrait devenir le troisième plus grand édifice religieux du monde après les mosquées de La Mecque et de Médine. Elle pourra accueillir 120.000 fidèles dans sa salle de prière. Elle aura aussi - si Dieu le veut - le minaret le plus haut de la planète musulmane, détrônant dans le Livre des records Casablanca et son minaret de 210 mètres de haut érigé sous le règne du roi Hassan II.

L'Algérie est un pays de fond culturel berbère et africain avec des influences arabes puis européennes. La Constitution algérienne définit « l'islam, l'arabité et l'amazighité# » comme « composantes fondamentales » de l'identité du peuple algérien et le pays comme « terre d'Islam, partie intégrante du Grand Maghreb, pays arabe, méditerranéen et africain »
# l'Amazighité est la spécificité de la culture et de la langue des ethnies berbères autochtones.
L'histoire de l'Algérie, qui s'insère dans l'histoire plus large du Maghreb, remonte à des millénaires. Dans l'Antiquité, le territoire algérien connait la formation des royaumes numides avant de passer sous la domination partielle des Romains, des Vandales et des Byzantins, et des principautés berbères indépendantes.
Le VIIème siècle marque le début de l'islamisation forcé puis l'arabisation. La population du Maghreb n'a pas le choix, c'est l'Islam ou la mort. Aujourd'hui encore cette dualité persiste notamment en Kabylie et dans les Aurès où l'on est avant tout berbère.
L'Algérie contemporaine commence à se constituer territorialement au début de la régence d'Alger, soit au XVIe siècle. La régence d'Alger est une ancienne entité étatique d'Afrique du Nord dont l'existence, de 1515 à 1830, a précédé la conquête de l'Algérie par la France. Elle était rattachée à l'empire ottoman. Située entre la régence de Tunis à l'est et l'Empire chérifien, à partir de 1553, à l'ouest et les possessions espagnoles et portugaises d'Afrique du Nord, la Régence s'étendait à l'origine dans des limites du nord de l'Algérie allant d'Alger à Biskra, et s'est ensuite déployée jusqu'aux actuelles frontières est et ouest de l'Algérie.
La Régence, gouvernée par des pachas et des deys, était formée par plusieurs beyliks qui étaient sous l'autorité des beys.
La colonisation française va lui permettre de s'étendre aux confins du Sahara et va bouleverser la formation sociale existante. L'émergence au début du XXe siècle d'un mouvement national mène au déclenchement de la guerre d'Algérie en 1954, une insurrection armée qui s'achève par l'indépendance du pays en 1962, et la constitution de l'État-nation actuel.


Ce matin 23 mars 2016 un peu avant 9 heures nous apprenons l'attentat de Bruxelles dans le hall de l'hôtel au moment où le guide arrive pour nous faire visiter la casbah d'Alger. C'est l'occasion de parler de la décennie noire ou décennie du terrorisme, ou années de plomb. La guerre civile algérienne est le conflit qui opposa le gouvernement algérien, disposant de l'Armée nationale populaire, et divers groupes islamistes à partir de 1991. On estime que ce conflit coûta la vie à 150 000 personnes avec des milliers de disparus, un million de personnes déplacées, des dizaines de milliers d'exilés et plus de vingt milliards de dollars de dégâts. Le conflit armé se termina par la victoire de l'Etat, suivi de la reddition de l'armée islamique du salut et la défaite en 2002 du groupe islamique armé GIA.
Des attentats comme celui de Bruxelles c'était tous les jours. Tout le monde était visé mais surtout les intellectuels. Pour eux c'était la valise ou la mort. Professeurs, médecin, journaliste, ingénieur, avocat, cadre dans l'administration comme dans le privé, hommes et femmes dans le domaine de la culture et des arts, ce fut l'hécatombe. Une catastrophe pour le pays, il a fallu repartir de zéro comme à l'indépendance. Si de nos jours on peut visiter des sites archéologiques c'est parce qu'ils ont été surveillé nuit et jour par l'Armée nationale populaire.
Aujourd'hui en Algérie toute la presse et la télé parle de l'attentat et la lutte contre le terrorisme est un souci de chaque instant. A la sortie de chaque wilaya il y a un contrôle sur la route, à l'entrée aussi, et il y a des contrôles à l'intérieur des wilayas. Ils traquent tout ce qui a une gueule de terroriste. En ville il y a beaucoup de policiers. Plusieurs fois ils ont contrôlé mes photos. Et pourtant l'armée, les policiers, les gendarmes sont très populaire.

Voici Alger; la ville blanche.

La ville d'Alger est en fait constituée de plusieurs communes, avec 4,4 millions d'habitants tandis que l'agglomération en compte environ 7 millions, c'est la première agglomération du Maghreb.

Principaux quartiers d'Alger :
- La Casbah , « la Citadelle »), construite sur une colline, descend vers la mer. On y trouve des bâtisses et des mosquées du XVIIe siècle. La Casbah, c'est aussi des labyrinthes de ruelles et de maisons pittoresques ; et si l'on s'y perd, il suffit de redescendre vers la mer pour se repositionner.
- Alger-Centre. La rue Didouche Mourad s'étend de la Grande Poste jusqu'au palais du Peuple (ancien palais d'été). Elle traverse notamment la place Audin, La faculté d'Alger, le Sacré-Coeur. Elle est bordée de magasins et de restaurants chics sur une grande partie de sa longueur.
- Front de mer : à partir de 1840, les architectes Pierre-Auguste Guiauchin et Charles Frédéric Chassériau installèrent de nouvelles constructions en dehors de la Casbah, hôtel de ville, palais de justice, bâtiments, théâtre, palais du Gouverneur, casino. pour former une élégante promenade bordée d'arcades qui est désormais le boulevard Che Guevara.
- Bab El-Oued : quartier populaire qui s'étend de la Casbah au-delà de « la porte de la rivière ». C'était au départ le quartier du petit peuple européen avant 1962. Célèbre par sa place « les trois horloges » et par son ancien « marché Triolet » noyé après les fameuses inondations de 2001, mais aussi pour ses nombreux artistes de tous genres, Bab El-Oued était aussi un des fiefs du FIS. C'est aussi un quartier d'ateliers et de manufactures.
- Belouizdad : quartier populaire situé à l'Est, traversé par la rue Mohamed Belouizdad. L'écrivain Albert Camus y vécut une partie de sa jeunesse.
- Hydra, El-Biar, Ben Aknoun et Bouzareah forment ce que les Algérois nomment les hauteurs d'Alger. Ces communes, parfois réputées chics, abritent la plupart des ambassades étrangères d'Alger, de nombreux ministères et centres universitaires, ce qui en fait un des pôles administratifs et politique du pays.

Monuments et sites :
- La Casbah est le coeur de la ville et reste une référence architecturale avec ses ruelles et ses joyaux d'art mauresque. Elle renferme de nombreux palais, mosquées et mausolées, notamment les mosquées Jamaa al-Jdid et Ketchaoua.
- Sanctuaire du Martyr Surplombant la ville, haut de 92 mètres, il est composé de trois palmes stylisées reposant sur une vaste esplanade où brûle la « flamme éternelle » et recouvrant une crypte, un amphithéâtre et un musée souterrains. C'est un lieu de rassemblement et de recueillement à la mémoire des martyrs de la guerre d'indépendance du pays.
- Le jardin d'essai, lieu de promenade et jardin botanique.
- La Grande Poste : construction de type néo-mauresque édifiée de 1910 à 1913 par l'architecte Marius Toudoire en collaboration avec Jules Voinot, c'est le cour d'Alger.
- La Grande Mosquée (Al Djamâa al Kabir) : c'est le plus ancien édifice de la ville. Date de la période almoravide au XIe siècle.
- La Mosquée Ketchaoua : construite en 1436 et reconstruite deux fois en 1613 puis en 1794. Transformée en église par la France entre 1832 et 1962, avant de redevenir une mosquée à l'indépendance.
- Place Émir Abdelkader (ex-place Bugeaud) : en mémoire de l'émir Abd El-Kader, résistant durant la conquête coloniale de l'Algérie.
- Palais des Raïs ou Bastion 23 : situé au quartier de la Marine (XVIIIe siècle). Un des pôles d'intérêt de l'histoire du vieil Alger.
- Basilique Notre-Dame d'Afrique : remarquable de par sa situation géographique sur un promontoire qui domine le quartier de Bab El Oued, la basilique de style néo-byzantin de Jean-Eugène Fromageau fut édifiée de 1858 à 1872.
- Hotel El-Aurassi : l'imposant hôtel qui barre la perspective en accédant au centre-ville à partir du port depuis la rampe Tafourah.
- Université d'Alger : située au centre-ville, entre la place Audin, la Grande Poste et l'avenue Pasteur. Fondée en 1879, elle constitue le noyau des premiers universitaires algériens, notamment les médecins pendant la colonisation.
- Le Palais du peuple : ancienne résidence des gouverneurs, est une belle bâtisse d'architecture ottomane du XVIIIe siècle. Des peintures murales représentent des scènes de la vie quotidienne réalisées par des artistes français au début du XXe siècle.
- Le Musée national du Bardo, ancienne villa construite durant l'époque Ottomane vers la fin du XVIIIe siècle par un riche commerçant, et transformée en musée en 1930.
Transports publics :
- Un premier tronçon du métro d'une longueur de 13,5 km et comprenant 14 stations est mise en service le 1er novembre 2011. Plusieurs prolongements sont actuellement en cours de construction.
- Disparu en 1959, le tramway a fait son retour dans sa forme moderne à Alger en 2011.
- Un réseau de bus et de trains de banlieue.
- Quatre téléphériques offrent une liaison rapide entre des quartiers bas et d'autres situés sur les hauteurs de la ville.
Les transports publics sont peu développé et utilisé et les embouteillages sont gigantesques.

Pendant la seconde guerre mondiale Vichy devient la capitale des collabos. Les forces en exil qui refusent la capitulation et décident de continuer le combat, emmenées en particulier par le général de Gaulle, partent dans un premier temps à Londres où ce dernier effectue son appel du 18 juin, appelant à la poursuite des hostilités. Divers territoires de l'Empire colonial se rallient rapidement au Général et notamment l'Afrique-Équatoriale française. De Gaulle choisit Brazzaville pour être la « capitale de la France libre », statut qu'elle gardera jusqu'en 1943. À la suite de la libération d'une partie des territoires français d'Afrique du nord grâce au débarquement allié des 7 et 8 novembre 1942, c'est Alger qui devient de facto capitale de la France libre en étant le siège du Comité français de Libération nationale qui un an plus tard prend le nom de Gouvernement provisoire de la République française.

Voici la Casbah.

l'ancienne prison Barberousse se trouve en haut de la casbah.

la casbah vue d'une terrasse de la casbah.

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Dans la basse casbah se trouve le musée national de l'enluminure, de la miniature et de la calligraphie installé dans le palais Mustapha Pacha depuis 2007, année ou Alger fut capitale culturelle arabe.

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Le centre des arts et de la culture se trouve dans l'ancien palais des Raïs ou Bastion 23.

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Notre Dame d'Afrique.

En plein centre d'Alger.

Ci dessus El Biar sur les hauteurs d'Alger.

Bab El Oued et la place des trois horloges.

Ci-dessous Diar El Mahçoul, un quartier d'Alger réalisé en 1954 par Fernand Pouillon, architecte et urbaniste français né en 1912 et mort en 1986.

La partie la plus spectaculaire de Diar El Mahçoul, dite " confort " était à l'époque réservée aux européens, aujourd'hui partiellement en copropriété, aux espaces généreux sur la mer et aux décors " riches ". La partie " simple confort " était réservée à la population musulmane.
Fernand Pouillon a nettement pris en compte la culture des deux populations. La cité dite " confort " fait appel aux modèles européens (la tour-clocher, la place, le mail, le portique, le monument), la simple confort fait appel au modèle de la casbah, ruelles, placettes, passages étroits entre immeubles, escaliers, montées, descentes, densité importante, moins de décors de céramiques mais plus de travail des ombres et des lumières sur les façades, pas de tour mais des voûtes pour le marché.
Les deux ensembles comptent respectivement quelques mille et mille cinq cents logements, un téléphérique permettant de rallier la ville basse.
Admirateur d'Auguste Perret, Fernand Pouillon fut un des grands bâtisseurs des années de reconstruction après la Seconde Guerre mondiale en France. Il a réalisé de nombreux équipements et bâtiments publics à Marseille, Aix-en-Provence, en région parisienne, en Algérie ainsi qu'en Iran. Ses réalisations se caractérisent par une insertion dans le site, un équilibre des masses né de proportions harmoniques rigoureuses, des matériaux nobles, y compris dans le logement social et la collaboration d'artistes sculpteurs, céramistes, paysagistes.

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à droite la stèle de la fontaine de l'espérance

cette stèle en l'honneur des porteurs de valises se trouve devant l'institut superieur de musique.

Le réseau Jeanson était un groupe de militants français qui opéra en tant que groupe de soutien du FLN durant la guerre d'Algérie, principalement en collectant et en transportant fonds et faux papiers d'où leur surnom de « porteurs de valises ». Le réseau est démantelé en février 1960 et son procès s'ouvre le 5 septembre 1960.

le Milk Bar se trouve place de l'èmir Abd El Kader en face de la statut.

en montant la rue Didouche Mourad l'église Sacré Coeur à droite et cette église anglicane.

la rue Didouche Mourad ex rue Michelet

la stèle des martyrs

la place Maurice Audin

en flanant dans les rues d'Alger.

la rue Larbi Ben M'hidi.

le Tantonville.

Cette galerie de portraits sous les arcades.

la grotte de Cervantes.

le jardin d'essai.

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Cherchell constitue un pôle touristique de plus en plus important dans le pays située à environ 90 km à l'ouest d'Alger, à 20 km à l'ouest deTipaza. Elle fut l'une des plus importantes cités du littoral occidental de l'Afrique du Nord antique, particulièrement à l'époque romaine. La ville fut fondée au IVe siècle av. J.-C. par les Phéniciens. La plupart des ruines de la cité ancienne se situent en dehors de la ville actuelle. Il en existe cependant quelques-unes dans le centre-ville. A voir Amphithéâtre de Cesarea Mosquée El Rahman.

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au milieu de nulle part le tombeau de la chrétienne

au millieu de nulle part cet acqueduc romain

la plaine de la Mitidja est une riche région agricole située à l'ouest d'Alger.

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Tipaza a été fondée par les Phéniciens au Ve siècle av. J.-C.. Comme toutes les villes du bassin méditerranéen, Tipasa est devenue romaine puis chrétienne.

Albert Camus a passé une partie de sa vie à Tipaza. Une stelle a été érigé en son honneur ou il est gravé : voir ci-dessus.

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